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Depuis dimanche dernier, l’opposition se réclame ambassadrice d’un vote sanction contre le pouvoir en place. Cependant, avec 53,6% d’abstention, soit plus de 23 500 000 citoyens qui ont choisi de rester silencieux, ne peut-on craindre une réalité toute autre, celle d’un désengagement des français pour l’avenir de leur région ?
Au lendemain du 1er tour des régionales, je voudrais remercier celles et ceux qui se sont mobilisés pour les listes de la majorité présidentielle.
« Ce premier tour n'apporte pas d'éléments qui remettent en cause notre projet stratégique », déclare Bernadette Malgorn, tête de la liste régionale de la Majorité présidentielle « Ensemble, dessinons la Bretagne » au soir du premier tour des élections régionales marqué par une abstention historique. Bonjour à tous première victoire la veille du premier tour …Bernadette Malgorn arrive en tête
Sur les pages indexées sur Google 23400 contre 19600 pour Jean yves le drian .
Bravo à toute l’équipe de campagne.
http://www.googlefight.com/index.php?lang=fr_FR&word1=bernadette+malgorn&word2=jean+yves+le+drian
J'en profite également pour remercier toutes les personnes qui me suivent sur mes différents supports de communication informatique. En effet vous avez été plus de 113000 à lire et à commenter mes publications depuis le début de cette campagne. Alors un grand merci à tous et on recommence dès dimanche soir.
Parce qu'elle veut remettre la région en marche.Parce qu'elle enthousiasme la jeunesse, et aussi les anciens.
Parce que Bernadette Malgorn est une bretonne convaincue.
Parce que c'est pour la jeunesse, pour son avenir que Bernadette Malgorn s'engage.
Parce que, en sa qualité de tête de liste régionale de la Majorité présidentielle, elle ne cesse de rappeler l'attachement de la liste aux valeurs issues de la démocratie chrétienne, du gaullisme social et du courant libéral qui ont contribué à forger l'âme de la Bretagne contemporaine et qui se traduisent par les deux mots qui définissent le projet de la liste « Ensemble, dessinons la Bretagne » : justice et liberté.
Parce que Bernadette Malgorn n'est pas en service commandé.
Parce que c'est une femme libre, qui n'est la marionnette de personne et qui n'a besoin de l’autorisation de personne pour défendre la Bretagne.
Parce qu'elle veut vraiment servir la Bretagne.
Parce que j'en ai assez du « socialisme édredon ». J'en ai assez des « solutions du passé » et que je souhaite un avenir heureux pour la Bretagne.
Pour cela, retrouvons l’esprit conquérant de la Bretagne. Celui de l’époque où l’on cultivait le lin et le chanvre dans nos champs, qui étaient transformés en toiles et cordes chez les artisans de nos villes. Toiles et cordes qui équipaient nos navires et avec lesquelles les Bretons partaient à la découverte des continents. Voilà l’esprit qu’il faut retrouver, il est là présent chez chacun d’entre vous il ne demande qu’à se révéler, qu’à se libérer.
« Pour une campagne pour les régionales, franchement, je n'avais jamais vu cela ! ».
Mercredi soir, à Rennes, ce sympathisant finistérien n'en revenait pas : près d'un millier de personnes étaient réunies à la salle Le Liberté pour le grand meeting régional de la liste de la Majorité « Ensemble, dessinons la Bretagne ».
Un meeting placé sous le signe du rassemblement avec, sur scène, Bernadette Malgorn, tête de liste régionale, le sénateur Dominique de Legge, chef de file pour l'Ille-et-Vilaine, Christine Boutin, présidente du Parti chrétien-démocrate, Gérard Longuet, président du groupe UMP au Sénat et Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la Justice et fondateur de la Gauche moderne. Aux premiers rangs, les colistiers des quatre départements, un nombre impressionnant de conseillers généraux et puis la foule des militants et sympathisants.
Les quatre départements sont présents : le Finistère, d'où deux cars ont amené une centaine de personnes. Un système de covoiturage a été mis en place dans le Morbihan et les Côtes d'Armor. L'Ille-et-Vilaine est naturellement en force.
Technologie, jeunesse et dynamisme
Le style rompt avec l'habitude des réunions publiques rasantes et bavardes des listes concurrentes : des clips vidéo, une musique originale. Un enthousiasme, surtout ! « Ensemble, dessinons la Bretagne » veut remettre la région en marche. S'inscrire pleinement dans le XXIe siècle. Elle le prouve par ce meeting enlevé, heureux cocktail de dynamisme, de technologie et de jeunesse.
Vêtus de T-shirts aux couleurs de Bernadette Malgorn, plusieurs dizaines de jeunes participent d'ailleurs largement à l'ambiance chaleureuse et survoltée de la soirée. Une jeunesse à laquelle s'adresse à de nombreuses reprises Bernadette Malgorn : « C'est pour vous, pour votre avenir, que nous nous engageons », lance-t-elle sous des tonnerres d'applaudissements.
Au fil de son discours, la tête de liste régionale de la Majorité présidentielle rappelle l'attachement de la liste aux valeurs issues de la démocratie chrétienne, du gaullisme social et du courant libéral qui ont contribué à forger l'âme de la Bretagne contemporaine et qui se traduisent par les deux mots qui définissent le projet de la liste « Ensemble, dessinons la Bretagne » : justice et liberté.
« Je ne suis pas en service commandé, je suis une femme libre, je ne suis la marionnette de personne et je n’ai besoin de l’autorisation de personne pour défendre la Bretagne. Si je suis là avec vous ce soir c’est bien pour servir la Bretagne », affirme Bernadette Malgorn.
Elle fustige le « socialisme édredon », les « solutions du passé » pour mieux mettre en valeur sa vision de ce que doit redevenir la Bretagne et fixer le cap : « retrouvons l’esprit conquérant de la Bretagne. Celui de l’époque où l’on cultivait le lin et le chanvre dans nos champs, qui étaient transformés en toiles et cordes chez les artisans de nos villes. Toiles et cordes qui équipaient nos navires et avec lesquelles les Bretons partaient à la découverte des continents. Voilà l’esprit qu’il faut retrouver, il est là présent chez chacun d’entre vous il ne demande qu’à se révéler, qu’à se libérer. »
A 22h30, quand les colistiers remontent sur scène pour entonner ensemble la Marseillaise, l'émotion est à son comble. Et il faudra un peu presser le public pour qu'il accepte de quitter les lieux tant ce moment de rassemblement est partagé.
